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Evenement

 
Danse
samedi 23 mars 2019, 20h30
Rencontres chorégraphiques
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à partir de 5 €
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RENCONTRES CHOREGRAPHIQUES

Avec les Conservatoires de Fouesnant, Hennebont, Lanester, Lorient et les Ecoles Associatives d'Elven, Guidel et le CECAP de Lorient.

Le conservatoire de Lanester possède le département de danse le plus important de Bretagne avec un effectif de 500 élèves danseuses et danseurs. Avec un plateau de 300 M2 la scène de Quai 9 offre un plateau d’exception pour la danse. Aussi les équipes enseignantes du conservatoire mettent en place pour la première fois des rencontres chorégraphiques qui permettront à de nombreuses écoles de danse de la région de partager cette scène pour vivre intensément cette belle passion.

Neuf groupes et 80 danseuses et danseurs seront donc réunis pour cette très belle soirée :

Trio….’s Hennebont : « Océan Mer » (Jazz et contemporain)

Musique : Barbara Sterne

Barbara, pianiste a souhaité intégrer la danse à son concert qui raconte l'histoire du livre « Océan Mer ». C'est pour cette occasion que les élèves de l'atelier chorégraphique du Trio...s ont crée deux pièces. Par un travail de composition de création, deux chorégraphies ont émergé autour des personnages de Ann et Adams. L'objectif, en plus de celui de création est ce travail particulier et très enrichissant pour les élèves de danser avec de la musique en live puisque Barbara nous accompagne sur scène.

Périphéri’k Elven : « Fifty fifty » (Jazz)

Musique : « Already been to the water » Vickie Wirans

Cette pièce est une interrogation sur les similitudes et les différences entre la danse africaine et la danse jazz. Comment chacune réveille nos corps, y a-t-il une frontière ? Pour nous c'est fifty fifty.

Conservatoire de Lorient : « Rodin » (Classique)

Musique : « L'eau vive » de Diaphane

Rodin et la danse...Regards complices et affectueux sur une partie de l'oeuvre de Rodin ou comment ses sculptures, peintures, dessins ont nourri, sublimé, accompagné,...et accompagnent toujours notre art, la danse.

Jazz and Co Guidel : « Libre de se mettre à nu » (Jazz)

Musique : « Stranger - the lion and the man » Rune Ekelund

La peur de montrer notre vulnérabilité nous entraîne à endosser des costumes de toute puissance qui finissent par nous étouffer et nous rendre étranger à notre véritable nature. Oser se mettre à nu ouvre la voie vers soi et la liberté.

Compagnie Nova Danse Ballet Lanester : « Poésie lunaire » (Classique)

Musique :« Rain, in your black eyes » Ezio Bosso et « Tied Down »Thom Hanreich

Au départ, tels des clones, les danseuses évoluent dans le même système, dans la même rythmique obsessionnelle. Il faudra le geste de l’une d’entre elle, la révolte d’une danseuse, pour les libérer de ce carcan et leur permettre à chacune d’exprimer, qui elles sont, ce qu’elles sont et ainsi faire jaillir toute leur poésie féminine.

Périphéri’k Elven : « Hey men » (Jazz)

Musique : House music Gunn Da Beat

Vous croyez en Dieu ? En tout cas, en entrant dans une église baptiste vous aurez de drôles de sensations. Vous serez certainement emporté par les chants et la musique du gospel. Alleluya !!

Conservatoire de Lorient : « One » (Contemporain)

Musique : « Fratres » de Arvo Pärt

Pièce pour l'avant-spectacle de la compagnie Trisha Brown, à partir de principes de création de la chorégraphe.

Conservatoire de Fouesnant : « A vous de jouer » (Néo-classique)

Musique : « Clubbed to death » BO Mattrix

Chaque période de trouble de l'histoire ouvre une brèche d'espoir.

Compagnie De la tête aux pieds Lanester : « Mutation » (Contemporain)

Musique : Clémentine Page

C’est l’histoire d’une foule en métamorphose. Une esquisse vive et rapide qui fantasme nos transformations en cours et à venir. Une mêlée faite de force et de douceur s’articule entre l’urbain et le sauvage. Un rassemblement intime fait de piétons «hybrides». Une abstraction colorée partant de nos comportements urbains, nous, piétons dans la ville. Mutation nous projette aussi ailleurs, en double écriture, dans des ambiances sauvages. Elles apparaissent comme des bouffées respiratoires et nous renvoient à notre relation à la nature... à ce qu’il en reste... comme un regard tendu et complice à nos origines.  Ce que le monde moderne fait de nous, ce que nous faisons de lui.